Huile sur toile Ecole italienne. Epoque milieu XVIIIème. Paysage animé de personnages. En bas, au centre se déroule la scène principale : une cavalière en amazone sur son cheval blanc demande son chemin à un berger et le rétribue. Sur le côté gauche d’autres bergers et bergères surveillent des montons et un bouc au bord d’un étang. Plus loin sur le chemin deux pêcheurs rentrent chez eux avec leurs filets. Au loin on aperçoit d’autres personnages et un village fortifié puis en fond de scène des montagnes. Cadre doré XIXème. Ancienne étiquette d’un cabinet d’expertise.
Dimensions cadre : L 97 x H 81 x P 6.5 – Dimensions toile : L 75 x H 60
Prix : 3200 eur
Vue d’optique d’époque XVIIIème. « Vue perspective de revue de la maison du Roy Cavalerie qui se fait tous les 3 ans au Trou d’Enfer à 4 lieux de Paris ». Gravure réhaussée à la gouache. A Paris chez Maillet imprimeur rue Saint Jacques. Cadre doré XXème.
Dimensions du cadre : L 55 x H 40 – Dimensions à vue : L 41 x H 26
Prix : 390 eur
Vue d’optique d’époque XVIIIème. Représente une vue en perspective de la ville de Cadix (Cadiz) du côté du port. Gravure réhaussée à la gouache. A Paris chez Daumont rue Saint Martin. Cadre doré XXème.
Jean François Daumont est un marchand mercier, éditeur et marchand d’estampes parisien, actif de 1745 environ à sa mort en 1768. Il est né à Metz (Trois-Évêchés), le 4 septembre 1717. Arrivé à Paris vers 1737, il se marie le 12 septembre 1738. Le 7 septembre 1746, Cuny François Daumont est reçu marchand mercier. Il demeure alors rue de la Ferronnerie. Daumont publie alors toutes sortes d’estampes, mais principalement des cartes géographiques et quelques images populaires. Il co-édite même quelques partitions musicales, notamment de Jean-Philippe Rameau. En 1757, il quitte la rue de la Ferronnerie pour s’installer rue Saint-Martin, près Saint-Julien-des-Menestriers, paroisse Saint-Josse, dans une maison qu’il a achetée deux ans plus tôt. Il fait commerce d’estampes au moins depuis 1746. On le connaît également comme éditeur de vues d’optique et marchand de papiers peints.
Dimensions du cadre : L 58 x H 43 – Dimensions à vue : L 39 x H 26
VENDU
Huile sur toile – Fin XVIIème / début XVIIIème. Entourage de Pierre Antoine PATEL le jeune. Le repos pendant la fuite en Egypte. Paysage avec ruines à l’antique. Pierre PATEL (1605-1676) ainsi que son fils Pierre Antoine PATEL (1648-1707) dit le jeune étaient spécialisés dans les paysages avec ruines antiques. Dans leurs tableaux ils intégrèrent des scènes bibliques dans des paysages imaginaires et idéalisés, utilisant très fréquemment les mêmes composantes tels que ruines de temple, grands arbres et troncs d’arbres brisés, marécages parsemés de joncs et de roseaux, grands ciels bleus… Ils utilisèrent la technique de la perspective atmosphérique qui consiste à peindre le fond de scène en plus clair. Ainsi le ciel et la terre s’éclaircissent progressivement en approchant de la ligne d’horizon et ils deviennent d’un bleu-gris pâle rendant le paysage lointain indistinct. Ce tableau a été nettoyé et reverni par un restaurateur expérimenté. Tableau non réentoilé, sans aucune restauration. En parfait état. Cadre en bois doré de la même époque.
Dimensions du cadre : L 126.5 x H 95.5 – HST seule : L 116.5 x H 86
VENDU
Huile sur toile du début du XIXème. Reprise du tableau de Jean Baptiste Greuze (1725-1805) intitulé « Innocence » exécuté en 1790 et exposé à La Wallace Collection à Londres. La scène représente une jeune femme et un agneau. « En plus de ses connotations religieuses, l’agneau dans l’art occidental est considéré comme un attribut de l’innocence, la douceur, la patience et l’humilité. En représentant un agneau, Greuze investit donc son charmant modèle des mêmes qualités. Ces représentations de jeunes femmes câlinant des animaux, et suggérant ainsi leur sensibilité, renvoient au culte voué à l’émotion au dix-huitième siècle par Rousseau et d’autres. L’héroïne de Greuze apparaît donc en possession de l’enivrante combinaison de l’innocence sexuelle et la profondeur émotionnelle. » (Notice Wallace Collection)
La toile porte au dos la mention « Jérôme Delorme – 1813 »
Dimensions du cadre : L 52.5 x H 62.5 – HST seule : L 46 x H 56
Prix : 1900 eur
Tableau Huile sur toile « deux angelots aux colombes ». Epoque début XIXème. Deux anges assis dans un décor néo-classique : ils sont entourés de deux colombes, d’un char antique, de très beaux drapés, de flambeau, carquois, fleurs… Non signée. Cadre en bois doré de la même époque.
Dimensions : cadre L 120 x H 77 – HST seule L 109.5 x H 73.5
Prix : 1600 eur
Grande Nature morte aux fruits signée Felix THOMAS (1815-1875). Huile sur toile datée 1867 peinte à la façon des peintres hollandais du XVIIème. Belle composition sur un entablement réunissant de nombreux fruits et feuillages ainsi qu’un ensemble d’objets décoratifs précieux, vase, coupe, pots. On pourra noter la grande agilité du peintre à représenter de multiples matériaux tels que le verre, la faïence, le marbre, le bois, le bronze, la pierre, la terre cuite, le tissu ainsi que le tapis en laine. Très bonne maîtrise également de la lumière. Cadre récent en bois noirci et filet doré.
Felix THOMAS, né le 29 septembre 1815 à Nantes et mort dans la même ville le 5 avril 1875, est un architecte, peintre, graveur et sculpteur français. Après des études à Nantes, il est admis à l’École des beaux-arts de Paris. Il obtient le premier prix de Rome en architecture sur un projet de cathédrale en 1845 et loge à l’Académie de France de 1846 à 1850. Il participe entre 1851 et 1854 à l’expédition scientifique et artistique de Mésopotamie et de Médie. Grand voyageur, il parcourt l’Italie, la Grèce et la Turquie. À son retour en France, il devient l’élève de Charles Gleyre et se consacre à la peinture. Il réalise alors un ensemble d’œuvres orientalistes inspirées de ses voyages. Il expose au Salon des Artistes français en architecture lors de l’Exposition universelle en 1855, 1859 et 1865, mais également dans la catégorie peinture de 1864 à 1867. Il est fait chevalier de la Légion d’honneur en 1867.
Œuvres dans les collections publiques :
Nantes, musée des beaux-arts.
Paris, musée du Louvre.
Dimensions du cadre : L 145 x H 166.5 x P 5.5 – HST seule : L 130 x H 152.5
VENDU
Huile sur panneau signée GRAAT Barend (1628-1709) figurant un troupeau de moutons. Epoque milieu XVIIème. Peintre Hollandais, GRAAT Barend vécu toute sa vie à Amsterdam et travailla comme artiste de 1645 à 1709. Formé par son oncle Hans Bodt comme peintre paysagiste et animalier, il s’est également illustré dans la peinture de genre et d’histoire. Il a notamment réalisé de nombreux portraits pour de riches familles d’Amsterdam. Il a enseigné au futur peintre de renom Johann Heinrich Roos.
Dimensions : L 38 x H 42 – panneau seul : L 21.5 x H 25.5
Prix : 2700 eur
Alexandre-Thomas FRANCIA (1815-1884). Dessin au lavis brun et gouache blanche. Fils du peintre paysagiste et aquarelliste français, François Louis Thomas FRANCIA (1772-1839), il est comme son père un peintre et aquarelliste reconnu, spécialisé dans les marines. Il mène une carrière internationale, exposant dès 1835 au salon de Paris, puis à Londres, Vienne, Anvers et Bruxelles. Il se fixe ensuite en Belgique où il est fait chevalier de l’Ordre de Léopold au titre de ses mérites artistiques. Ses œuvres sont conservées dans plusieurs musées internationaux. Cadre XIXème avec quelques restaurations.
Dimensions : cadre L 38 x H 32.5 – Dessin seul L 24 x H 19
Prix : 550 eur
Paire de gravures de Helman d’après L. Watteau. Epoque début XIXème. Cadres en chêne XVIIIème montés à clés. « Entrée de Monsieur Blanchard et du Chevalier Lepinard » et « La quatorzième expérience aérostatique de Monsieur Blanchard » en 1785.
Dimensions : L 60 x H 51.5
Prix : 450 eur
Huile sur toile. Ecole française d’époque fin XVIIIème / début XIXème. Scène romantique se déroulant dans un cadre champêtre et réunissant deux jeunes personnages. L’intérêt commun pour cet oiseau est l’occasion d’un rapprochement de ces derniers. A noter : une petite reprise à la peinture sur le tronc de l’arbre principal de la scène et quelques craquelures. Cadre XXème en bois et stuc doré comportant une restauration.
Dimensions du cadre : L 83 x H 96 x P 9 – HST seule : L 60.5 x H 75
VENDU
Dessin à la sanguine. Portrait d’un vieil homme. Suiveur de Jacob Jordaens. Epoque début XVIIIème. Ce dessin comporte une signature apocryphe ou une annotation (Jordaens) à la verticale en bas à droite. Cadre en chêne sculpté de rinceaux d’époque début XVIIIème également.
VENDU
Gravure d’époque fin XVIIIème intitulée Chasse Royale. Circa 1782. Gravure à l’eau forte de Georges Malbeste (1754-1843) et Jacques-Philippe Le Bas (1707-1783) d’après un tableau de 1663 de Adriaen Van de Velde (1636-1672) peintre néerlandais. Dans un parc, une jeune femme montée en amazone sur un cheval converse avec un Seigneur assis au pied de deux arbres, auquel un serviteur, agenouillé ajuste ses éperons. Derrière la jeune femme un jeune garçon retient un cheval qui se cabre. A gauche, un garçon de chasse souffle dans son cornet en retenant un molosse. Derrière lui d’autres chiens et trois hommes dont l’un tient un perchoir à faucons. Dans le fond un château. Cadre de la même époque.
Dimensions : L 52.5 x H 63.5
VENDU
Josué DOLLFUS (1796-1887) – Portrait miniature de Nicolas KOECHLIN (1781-1852). Aquarelle sur papier datée de 1852. Josué DOLLFUS (1796-1887) est un peintre miniaturiste remonné, à qui l’on doit de très nombreux portraits permettant de reconstituer des générations entières de familles célèbres notamment sur Mulhouse. Il est le petit-fils de Jean Henri Dollfus de la Cour de Lorraine (1724-1802). Nicolas KOECHLIN (1781-1852) est un industriel haut-rhinois du textile qui crée et fait prospérer l’entreprise familiale, avec des filatures et ateliers de tissage à Masevaux et Mulhouse, ainsi qu’à Lörrach au pays de Bade. Il sera par la suite député du Haut-Rhin de 1830 à 1841. Enfin, pionnier du chemin de fer en Alsace, il crée la première ligne ferroviaire internationale d’Europe. Sa fille Salomé épousera Mathieu Dollfus,associé de Dollfus Mieg & Cie, et leur fille Anne-Marie (1837-1917), dame d’honneur de l’Impératrice Eugénie sera l’épouse du baron Philippe de Bourgoing (1827-1882), Grand écuyer de Napoléon III, puis Inspecteur du Service des Haras avant d’être élu cinq fois député de la Nièvre. Leur fille Inès de Bourgoing, filleule de l’Impératrice Eugénie, épousera le Maréchal Lyautey.
Dimensions : cadre L 35.5 x H 40.5 – Peinture L 18 x H 23
VENDU
Josué DOLLFUS (1796-1887) – Portrait miniature de Noémie Odile KOECHLIN (1851-1918). Aquarelle sur papier datée de 1860. Josué DOLLFUS (1796-1887) est un peintre miniaturiste remonné, à qui l’on doit de très nombreux portraits permettant de reconstituer des générations entières de familles célèbres notamment sur Mulhouse. Il est le petit-fils de Jean Henri Dollfus de la Cour de Lorraine (1724-1802). Noémie Odile KOECHLIN (1851-1918) est la petite fille de Nicolas KOECHLIN (1781-1852) industriel haut-rhinois du textile, député du Haut-Rhin et créateur de la première ligne ferroviaire internationale d’Europe. Epouse d’Albert MIRABAUD, Chevalier de la Légion d’Honneur.
Dimensions : cadre L 35 x H 41 – Peinture L 16 x H 21
VENDU
Huile sur toile représentant un bouquet de fleurs dans le goût du XVIIème. Epoque XXème. Grand bouquet de roses, tulipes, lilas, feuillages … dans un pot en cuivre posé sur un entablement. Cadre noir et doré XIXème.
Dimensions : cadre L 99 x H 67 – HST seule L 92 x H 60
VENDU
Huile sur toile signée H Jonas. Les joueurs d’échecs. Epoque milieu XIXème. Elle représente un groupe de six hommes faisant une partie d’échecs dans ce qui semble être la salle des gardes d’un château. Une restauration à noter. Cadre de la même époque.
Dimensions : cadre L 51 x H 43.5 – HST seule L 46.5 x H 38
VENDU
Tableau Huile sur toile représentant Saint Jean Baptiste enfant. Epoque fin XVIIème – Début XVIIIème. Saint Jean Baptiste assis accompagné d’un agneau. HST non signée. Cadre de la même époque.
Dimensions : cadre L 44 x H 51 – HST seule L 33 x H 41
VENDU
Huile sur toile – Portrait d’une femme noble en pèlerine. Epoque milieu XVIIème. Elle est vêtue d’une cape de pèlerine à coquilles et arbore un « bourdon » ou bâton de pèlerin. Signature peu lisible au dos. Quelques restaurations. Vernis récent. Cadre doré XXème.
Dimensions du cadre : L 83 x H 104 – Dimensions de la toile : L 65 x H 81
VENDU
ANTIQUITES DE L’ANDELLE
Laurent PAVIOT
70 Impasse du Maubuisson
27520 SAINT LEGER DU GENNETEY
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